Sans destination. [Arwen]

Marcher était un moyen de passer le temps. Je n'avais que ça à faire après tout. Je détestait me reposer, il fallait toujours que je sois en mouvement. Etre immobile pour reprendre des forces était quelque chose pour les laches. Ma tête était basse comme à mon habitude, ainsi que mes oreilles étaient plaquées contre ma nuque. Je n'avais pas fier allure comme cela, mais je m'en fichais. La saison des chaleurs était terminée, je l'avais sentit. En faite c'était pour cela que j'avais adopté une attitude lourde. Je regardais le paysage du haut de cette falaise, ce qui pouvait être beau pour les autres, moi je trouvais ça banale. Une petite brise chaude se leva, apportant une odeur d'une jument complétement inconnue. Je m'arréta attend que cette jument s'approche. Je n'avais pas changer, je voulais m'amuser...

[Vraiment pas comode]

Une jument rouane fit enfin son apparition, elle s'approcha puis elle se présenta. Une jument chef de clan, c'était du n'importe quoi. Si elle cherchait à dominé, j'allais la remettre vite fait à sa place. Elle était nommé Arwen, un prénom qui devait avoir un sens, mais je n'avais pas envie de chercher. Son sourir fut bref, il venait à peine de disparaître. Elle se doutait que je n'allais pas lui répondre apparament. Je la fixais sans placer un mot. C'est fou, comment les chevaux se présentaient au premier venu. Je remarqua aussi que cette jument attendait un poulain. Mon regard noir se plongeait dans le siens. J'étais immobile, attendant une nouvelle réaction de sa part. Une distance résonable nous séparait, mais cela n'allait pas rester longtemps à mon avi. J'afficha un sourir, mon sourir. Dans quelques instants je savais que j'allais bien jouer.

Elle voulait jouer à ça. Mais elle allait perdre. Cela ne me génait pas de rester ici immobile à moins que l'envie d'avoir du contact physique plutot brutal. J'avais envie de prendre le galop et de reverser cette petite, cela m'éttait égale qu'elle portait un poulain ou pas. C'était sur, elle allait allé voir son prince pour se plaindre, mais ça aussi je m'en fichais pas mal, ça m'arrengeait combattre un étalon pour m'entrainer encore plus. Ca faisait deux ans que je n'avais pas fait face à ce genre de combat. Les étalons m'évitaient ou quoi ? Mais c'était sur qu'à la fin de cette rencontre j'allais enfin combattre. A moins que cette jument déscide de faire comme la jument grise nommé Haiookami, essayer de prendre un contact amical ? Il fallait voir ça, mais j'en doutais un peu ..

Ecoutant ce qu'elle avait à dire, j'hocha la tête. Son avie ne comptait pas du tout pour moi, c'était pour ça que je restais là, toujours immobile. Elle voulait me provoquer ? J'allais juste lui répondre à ses provoquations par la parole, à moins qu'elle veulle que je m'approche. Si c'était la cas, j'allais le faire, mais plus à mon avantage qu'au sien. Je pris pour la première fois la parole sans répondre à sa question.

- Tu sais, je ne cherche pas à te faire peur. Et aussi, mon prénom tu ne le saura pas tant que je ne l'ai pas déscider.

Mon tons était asser ironique pour la première phrase, mais il était devenu plus arrogant pour la deuxième. Pour les chevaux voulaient à tout prix savoir le prénom des autres. Moi, savoir le nom du cheval devant était sans auncune importance.

Ah, elle voulait passer. Il fallait dire ça plutôt. Je regardais cette jument avec mes grands aires. Ca lui faisait quoi que j'avais saillis des juments ? Pff, et puis la saillie que j'avais offert à Melody était complétement voulu sauf qu'elle le regrettait et c'était ça que j'aimais, faire regretter les gens de leurs stupides choix. Maintenant cette jument blanche, je n'allais pas la lacher. Je pris la parole toujours dans le but de la contredir en disant ce qui était vrai.

- Je suis comme je suis, tous ça est dans ma nature. En plus qu'est ce que ça peut te faire que j'ai saillis des juments ? Tant que ce n'est pas toi ça va non ? Et aussi, si tu n'essaye pas de me changer, pourquoi veux tu que je regarde la réalité en face ?

Tant de questions, parce que j'étais calme aujourd'hui, calme par rapport à d'habitude. Je souria toujours. Elle voulait passer donc je fis un signe de la tête poului dire qu'elle pouvait passer. Depuis le début je ne l'empéchais pas de bouger, elle se faisait des films.

Je la regardait désespéré, elle cherchait quelque chose ? Je fit un petit demi tour pour regarder au loin, on voyait de vaste terre. On avait l'impréssion que ce paysage était interminable. Je soupira à mon tour, puis je regardais Arwen. Mon sourir s'éffaca quelques secondes avant de revenir un peu plus tard. Je m'ébroua brusquement, puis je grattais le sol violament. Je m'ennuyais, mais qu'est ce qu'elle voulait encore cette jument rouanne ? J'allais m'en aller si elle ne s'exprimait pas clairement et rapidement. Je la regardais, enfin je descida de m'approcher, je tournais autour de la jument. Puis je repris ma place. C'était une manière d'accélérer les choses. Une manière qu'elle s'exprime

J'attendais quelques minutes, lorsqu'elle se descida enfin à parler. Enfaite, elle aurait mieux fait de rien dire. Les chevaux d'aujourd'hui aimaient connaître le passé des autres. Moi je détestais parler du mien. Mon encolure était courbé, mes muscles étaient contracté, je pris la parole avec un ton peu rassurant.

- Je ne parlerai jamais de cela.

Ce n'était pas aujourd'hui que j'allai dévoilé cela. Je l'avais fait une fois par erreur je le regrettais encore. Mais je pouvais être certain que cette jument n'allait pas le crier sur tous les toits, ce n'était pas son genre. Je leva légérement mon postérieur et je donna un coup dans l'air. J'étais juste un peu nerveux lorsque l'on me demandait de raconter ma vie.

Je ne bougeait plus, l'immobilité de mon corp était la même pour mon regard qui fixait la jument rouanne. La jument raconta on passé lentement, elle n'avait pas eu de mère, ni de père, et bien j'aurai pu dire, heuresement que les hommes étaient là. Autrement cette pauvre Arwen serait morte. Et moi, j'avais connu le tunnel, celui que l'on voit lorsqu'on est sur le point de mourir, je l'avais aperçu. La jument avait raison, je m'en fichais royalement, mais dans ses phrases quelque chose m'intéréssait. Elle avait un frère jumeau, j'allais avoir deux étalons sur le dos si je faisais du mal à cette petite. Ca allait être encore plus marant. Je voyais que la jument s'approchait pas, par pas. Qu'est ce qu'elle voulait faire ? Je n'aimais pas que l'on s'approche trop de moi. C'était moi qui devait me déplacer.

Je la regardais s'en aller. Je soupira une seconde fois. Je m'ennuyais tellement. Mes oreilles se plaquaient contre ma nuque, je pris le pas, mon allure était comme tout à l'heure.. Lourde, très lourde. J'allais m'en allé aussi, mais je vut que la jument decida finalement de s'allonger. Je stopa le pas pour la regarder avant de repartir dans une allure plus rapide. J'allais lui dire enfin mon prénom, pour cela je m'approcha près d'elle, j'étais juste devant elle. Elle leva la tête pour me regarder puis je répliqua.

- Aufaite, moi c'est Leader.

[Qu'est ce que vous avez tous avec les crins de Leader Mdr]

Une idée me vint à la tête. Mais je n'eu même pas le temps de réfléchir qu'Arwen se tenait debout, elle me tira les crins ainsi que la queue. A ce moment je fis voler mes postérieurs, mais je rata mon coup. Mon sourir était revenu, moi qui m'apprétait à partir je ne regrettait pas mon choix, j'allais pouvoir m'amuser. Mais, je me rappela bien vite de mon idée, si je me défendais tout était mauvais. Je fis juste claquer mes dents à quelques centimètres de son oeil, c'était pour lui dire d'arréter. Je contracta mes muscles une deuxième fois, je panacha ma queue, je courba mon encolure. Puis je pris un petit trot léger vers elle. Je secouais ma tête de droite à gauche pour remettre mes crins en place. Je me mis à tourner autour de la jument rouanne.

Je pris un pas aussi léger que mon trot. Je la fixais. Ma queue se balançait gracieusement. Je souriais, je voulais qu'elle entre dans mon jeu, mais elle était en train de penser à autre chose, ce qui me dérangeait vaguement pour la faire revenir sur terre. Je me colla à elle brusquement tout en étant délicat. Je tourna ma tête vers elle, soufflant de l'air chaud dans ses naseaux. Elle était plus attentif à ce que je faisait maintenant. Intérieurement, j'étais heureux, heureux d'avoir trouver une idée aussi génial. Je m'aimais, j'aimais ce que je faisait aux autres. J'aimais voir souffrir les gens à cause de moi. Mon regard s'attendrissait, pas réélement biensure..

Je ne bougeais lorsqu'elle se décala, cela n'allait pas être aussi facile que je ne le pensais. Je ne baissais pas le regard, je la fixais juste. Je ne répondis pas à sa question, j'étais encore immobile. Elle devait encore être dans ses pensées pour l'étalon qui l'avait sailli. Je pris le pas pour me mettre face à elle. Je soupira discrettement. Mes oreilles étaient orientées vers l'avant, mon regard était doux. Elle pensait que je préparais quelque chose, mais elle n'en s'inquietait pas tellement apparament. Je reprit le pas pour me coller une nouvelle fois à elle, toujours en la fixant.

Enfin, elle se décontractait. Un bon point pour moi, un sourir sadique se dessina sur mes lèvres lorsqu'elle ferma les yeux, mais il disparut bien vite, peur qu'elle me voit. Je posa mes naseaux sur son poitrail, mais elle se redressa, elle me fixait longuement. Je lui donna un petit coup de nez dans le siens. Une vrai parade amoureuse mais sans amour de ma part, je ne savais rien de ce que ressentait la jumenrt rouanne. Je plongea mon regard dans le siens, affichant un petit sourir de bonheur. Je m'ébroua doucement faisant virvolté mes crins, puis je posa de nouveau le regard sur Arwen.