Rencontre [pv Paldor]

Noémie galopait à vive allure, sans vraiment regarder ou elle était. La plaine était verte, l'herbe rasée trés régulièrement, ce qui était curieux pour une terre sauvage. L'herbe rasée était verte claire, abimée par les sabots des chevaux. Aucun arbre ni fleur n'était visible. Il y avait une petite colline qui était de même couleur que la plaine. Noémie stoppa, puis repartit au grand galop, une brise légère et agréable lui chatouillait les naseaux. Elle grimpa au petit galop, puis arrivait au sommet, elle vit des clotures et des boxs. Les hommes! Peut-être que son poulain y était. Poussée par son instinct maternelle, sans crainte de rencontrer un humain, elle continua de galoper, sauta la cloture faite de bois vernis et marron clair, avec un peu d'effort quand même. Elle s'avanca doucement. Au pas, elle stoppa, renifla l'air, mais ne sentit pas l'odeur de son poulain. Elle voulut repartir quand arriva un étalon.

Paldor était tranquillement installé dans le pré, cochait au sol, il ne s'inquiétait de rien. Aucun animal sauvage ne viendrait le déranger et aucun cheval à l'horizon. Le hongre ferma doucement les yeux il allait peut être réussir à s'endormir même sous cette chaleur. Après déà quelques secondes, Paldor allait déjà s'endormir quand il entendit comme un cheval qui aterrissait très lourdement à la fin d'un saut d'obstacle. Il se releva rapidement, il avait raison, c'était un cheval qui avait mal ratteri. Paldor fronça les sourcils qu'est ce qu'elles avaient les juments à le déranger quand il voulait dormir, voyant que celle-ci allait repartir, il galopa pour se placer entre elle et la cloture.

Salut... tu compte aller quelque part ?

Noémie vit alors un étalon qui dormait apparemment, mais celui-ci se leva, galopa entre la barrière et elle. Elle connaissait deux types d'étalons: les gentils et sympas, et ceux méchants. Celui ci avez l'air méchant. Elle le regarda, puis dit d'un calme impressionant:

-Oui, je comptais m'en aller. Pas assez d'action ici. Et puis étant-donné que tu es face à moi et que tu m'empêche de partir, je me dit que... tu ne veux pas que je parte ! Je suis flatée..

La jeune jument eut un sourire, car elle savait très bien comment s'y prendre pour faire dire des choses qu'on ne pense pas. Elle regarda l'étalon, toujours calme et posée.

Paldor ne savait pas trop comment réagir à ce que venait de dire la jument mais, il se mit à rire. Pourtant, ce qu'elle venait de dire n'était aps si drôle que ça mais pour Paldor, ça l'était.

Tu crois qu'en me parlant sur ce ton, je te laisserais partir ? He bien tu te trompes... je ne sais pas pourquoi tu es venu ici, mais puisque tu t'ennuis, si tu veux j'apelle les humains, ils vont venir te faire travailler, ça te dis ?

Paldor obsrva la jument fjord avec un sourire très sadique. Déjà qu'ildetestait un peu tout le chevaux mais alors en plus, c'était une jument sauvage alors il detestait encore plus.

Noémie regarda l'étalon de haut. Elle n'avait pas peur des humains, elle avait déjà vécue avec. Pour un peu, elle aurait rit, mais ne voulant pas vexé ce pauvre étalon en manque de pouvoir, elle se tgût. Elle souria puis dit, toujours avec sa voix pénible:

-Bien, vas-y. Mais puisque tu m'empêches de partir, je reste ici, tu me libérera bien à un moment ou à un autre! Et puis je ne te sert vraiment a rien. Tu n'aimes pas ma compagnie et je suis sauvage.. Bref, je ne suis d'aucune utilitée chez les hommes.

Elle reprit son souffle et gratta du sabot le sol d'herbe, puis regarda la haute cloture qui se dressée autour d'elle.

» Paldor